Gaiola, dont son nom peut être traduit librement comme “la petite cave“, est un ilot situé dans le Golfe de Naples, en Italie. Elle se trouve à seulement 30 mètres de la cote italienne, et fait partie du Parque Submergé Gaiola, qui s’étend sur 42 hectares.
Gaiola est composée de deux iles liées par un pont qui semble prêt de s’écrouler à tout moment. Un des ilots n’est pas habité, mais l’autre abrite une villa édifiée au milieu du XIXème siècle.
Mais pourquoi est cette ile assez spéciale?
Gaiola, qui dans le passée portait le nom de Euplea, selon un petit temple dédié à Venus Euplea, est jugée comme un bijou dans le patrimoine paysagistique de l’Italie, et on croit que le poète Virgil aurait vécu la. Il est encore possible de voir les ruines romanes, qui, à nos jours, sont un refuge pour les animaux aquatiques. Les légendes nous parlent des rituels magiques et initiatiques qui auraient eu lieu ici, et des potions étaient préparées pour être puis versées dans la mer, créant ainsi une forte malédiction qui frappait tous ceux qui vivaient pour longtemps à Gaiola.
Coïncidence ou non, les hommes qui ont vécu une longue période de temps ici ont subi tout sorte d’incidents malheureux. La série d’événements commence en 1920, quand le propriétaire suisse de la villa, Hans Braun, a été découvert mort, enrobé dans une couverture, et, tout de suite, sa femme a trouvé sa fin dans les eaux de la mer. Le propriétaire suivant, un allemand nommé Otto Grunback, est mort à cause d’un infarctus du myocarde quand il restait dans l’ile. Un autre propriétaire, le pharmacien Maurice Yves-Sandoz, s’est suicidé dans un hôpital psychiatrique. Les autres ont subi des divers désastres: des faillites, des décès soudains dans leurs familles, des enlèvements ou emprisonnements à cause des dettes énormes.
Aujourd’hui, Gaiola est dans la propriété de la région de Campagne et, il vient de soi, la villa n’a pas été habitée depuis 40 ans…
Références :
http://www.tuktuk.ro/2013/09/gaiola-insula-blestemata/
Adresa: http://greenly.ro/arii-protejate/gaiola-insula-blestemata
Article ecrit par Mirela Micu et traduit par Mihail Mitoseriu
